L’Arbre Blanc lance sa fragrance en partenariat avec l’université des sciences de Montpellier.
Montpellier capitale du parfum au 18eme siècle avant Grasse, mais sait-on que Montpellier fut longtemps un haut lieu de la parfumerie française ? La reconnaissance d’une famille d’apothicaires parfumeurs montpelliérains, les Fargeon, comme fournisseurs du Roi, en particulier Jean-Louis Fargeon « parfumeur des lumières » situé rue Saint Guilhem préparait les eaux simples pour la Reine Marie-Antoinette.
Il y a donc une véritable culture de ce travail sur le parfum et dont on trouve encore les traces à l’université de sciences de Montpellier. L’identité olfactive est la seule matérialisation à ce jour de l’Arbre Blanc grâce à la présence évanescente et invisible, voire subliminale de ses notes parfumées.
Le parfum de maison de l’Arbre Blanc avec ses notes aqueuses puissantes renforcées par des notes iodées, ozoniques évoquant le vent marin, chargé aussi d’humidité avec ses nuages blancs, bas, poudrés, une brume : une atmosphère typique du littoral en Languedoc. Et on retrouve aussi dans cette ouvrage d’inspiration japonisante, notamment dans sa structure des notes olfactives métalliques, tronc commun aux quatre saisonnalités du parfum de l’arbre Blanc, (printemps, été, automne, hiver que vous découvrirez au fil de nos prochaines présentations).
Acquérir quelques gouttes de l’identité olfactive de l’Arbre Blanc c’est faire entrer chez soi émotionnellement, inconsciemment ou consciemment la légende de L’Arbre Blanc, c’est toute la magie de la proprioception olfactive.